Sa philosophie

Les pensées spirituelles de Bach se fondent sur un système transcendantal ayant une perspective théiste du monde.
Il en appelle à la responsabilité de chacun envers sa propre personne.  “Guéris-toi toi-même” : Chacun porte en lui des forces d’auto-guérison.
Le corps humain n’est pas que physique, il possède d’autres dimensions.
Le plan mental est en relation avec la qualité de notre perception.

Pour traiter les causes et pas seulement les effets de la maladie, il est nécessaire de se mettre à observer le patient, la manière dont il est affecté par ses plaintes. Le diagnostic ne s’oriente que vers les états d’âmes dysharmonieux ou dits “négatifs”.
L’objectif premier est d’aider la personne à se connaître elle-même.
Le second devoir est de lui proposer les remèdes qui fortifient son corps, apaisent son esprit de manière à ce que la paix et l’harmonie puissent entrer dans son être.
La méthode et le système sont simples, mais/et efficaces. Ils travaillent sur les différents plans de l’individu de manière subtile et progressive.

Selon lui, les Fleurs de son système font partie d’un groupe de fleurs, d’arbres dont le stade d’évolution est identique, voire supérieur, à celui de la moyenne des humains. Elles augmentent nos fréquences vibratoires et nous permettent d’attirer une énergie spirituelle qui nettoie et guérit notre âme et notre corps. Ce sont toutes des plantes sauvages anglaises, mis à part deux.

Selon lui, la guérison totale dépend de quatre facteurs :
- La réalisation (prise de conscience) que la divinité existe en nous et qu’ainsi nous pouvons surmonter tout mal.
- La connaissance que notre maladie (mal à dire) est une rupture d’harmonie entre notre corps et notre âme.
- Le désir et la capacité de découvrir ce qui cause cette rupture d’harmonie.
- Le fait d’enlever ce qui est nocif en nous en développant la vertu opposée à cet élément.
Aller vers la santé veut toujours dire changer.

Il a exprimé ses idées dans trois publications rédigées entre 1928 et 1933.
Ce que nous appelons maladie est le stade terminal d’un désordre beaucoup plus profond et, pour assurer un succès complet au traitement, il est évident qu’on ne saurait traiter la conséquence seule sans remonter à la cause fondamentale pour l’éliminer.

La maladie n’est ni cruauté, ni punition ; elle est en tout et pour tout un correctif dont se sert notre âme pour nous indiquer nos défauts, pour nous éviter  des erreurs plus grandes, pour nous empêcher de provoquer encore plus  de dégâts - et pour nous ramener sur le chemin de la vérité et de la lumière que nous n’aurions jamais dû quitter.